Une viande d’agneau jeune, tendre, finement goûteuse
Mon engagement : produire une viande d’agneau de grande qualité, vous permettre de manger sain, de manger bon, de bien manger !
En quoi la viande d’agneau de Fauruc est de qualité exceptionnelle ?
Au cours d’une décennie d’élevage élaboré et raffiné, mes résultats techniques ont été répétés et amplifiés ; cela m’a conduit à élaborer une charte personnelle qui me permet de vous offrir une viande jeune, tendre, rare.
Une viande d’agneau jeune
Dans l’Union Européenne, peut être commercialisée sous l’appellation « agneau » la viande issue d’ovins âgés de maximum douze mois au moment de l’abattage. La viande d’agneau de Fauruc est bien plus jeune, de 80 à 150 jours.
À titre d’exemple un abattage de 15 agneaux le 22 mars 2024 avait une moyenne d’âge de 89 jours, allant de 107 à 66 jours. La tenue d’un registre des naissances avec parenté permet l’indication précise de l’âge de l’agneau au moment de l’abattage sur la fiche de suivi jointe à chaque colis. La traçabilité de la viande est totale.
Une viande d’agneau tendre.
La tendreté dépend de la prise de poids de l’agneau. Plus la prise de poids quotidienne est élevée les 70 premiers jours suivant la naissance, mieux ce sera. Selon ma charte personnelle le seuil de tendreté est avéré dès lors que la croissance atteint 300 grammes par jour, voire plus.
A Fauruc la croissance est phénoménale, la musculature de l’agneau étant réalisée à plus de 70% par la richesse du lait de la mère. La tendreté est mesurée par la pesée des agneaux tous les 21 jours, nous disposons ainsi d’un bon indicateur de croissance et de santé.
Une viande d’agneau rare
Au regard des résultats des différentes analyses réalisées par le laboratoire indépendant de Vannes chargé de contrôler le respect du cahier des charges du label « Bleu-Blanc-Cœur », la viande de mes agneaux contient moins de mauvaises et plus de bonnes graisses.
C’est là l’effet de l’alimentation animale mise en place : la teneur en graisses saturées (mauvaises graisses) est 20% inférieure à la moyenne des viandes d’agneau. Elle se situe au niveau du cacao à 59%.
A l’inverse la concentration des omega 3 (bonnes graisses) se situe au niveau des poissons gras sauvages, le rapport des omega 3 et 6 est de 1 pour 2 quand la moyenne est de 1 pour 20. Exceptionnel !
Cerise sur le gâteau, la viande de l’agneau de Fauruc est peu ou pas acide.
Je me contenterai de reproduire la conclusion de la dernière analyse effectuée : « les teneurs en acides gras et les ratios d’intérêts nutritionnels se distinguent bien d’une viande d’agneau standard ».
Une viande d’agneau saine
Rappelons qu’aucune vaccination n’est effectuée ni sur la mère ni sur l’agneau, aucun antibiotique n’est donné à l’agneau ! Ma conduite du troupeau a permis l’immunité naturelle : brebis et agneaux sont naturellement bien portants !
Comment reconnaître une viande d’agneau de qualité ?
Sur le plan visuel sachez qu’une bonne viande d’agneau doit être d’un rose vif, d’aspect brillant au grain fin, lisse et serré ; le gras se doit d’être ferme et bien blanc.
Lors de sa dégustation appréciez sa tendreté, c’est-à-dire la facilité avec laquelle vous allez pouvoir couper la viande et sa jutosité, son moelleux en bouche.
Cuisiner la viande d’agneau
Pour qu’elle garde sa tendreté la viande d’agneau doit reposer à température ambiante avant d’être cuisinée. Une période de repos au sortir du réfrigérateur est donc indispensable.
Favorisez une cuisson avec l’os et légèrement rosée, 63 °C pour une viande saignante (gigots et épaules).
Et tout se mange, même et surtout le gras !